Savoir-vivre
Annoncer le plan cancer le 2 novembre, jour des morts, c'est d'un goût...
Douce France
Sur ma carte d'identité, je veux bien qu'il y ait ma photographie, pas celle d'un salaud. Si posséder l'identité française c'est admirer un drapeau, un hymne national et rejeter l'être humain différent et ainsi le pousser à se replier dans le communautarisme, pour ensuite lui reprocher de ne pas "vouloir s'intégrer". Alors, je n'y suis pour rien, on ne choisit pas sa famille... Si le pays où je suis né, où je vis, où je vote, celui de mes ancêtres, dépense des fortunes pour renvoyer mourir chez eux des êtres humains qui ne demandent qu'à participer à la vie d'un pays qui voudrait bien les accueillir, comme l'ont toujours fait les immigrés avec beaucoup de courage et d'humilité... Alors cette identité n'est pas la mienne. Alors je perds mon identité.
L'ère du soupçon
Quand on voit resurgir la décision nauséabonde de ficher les mineurs dès 13 ans, au motif qu'ils sont "susceptibles de commettre des délits", on se rend compte que le président de la République française n'a pas du tout commis un lapsus en appelant "coupable" l'ancien Premier ministre, avant que le procès Clearstream se soit déroulé : d'une société de citoyens présumés innocents, nous entrons bel et bien dans une société de présumés coupables !
Cas d'école
Pour un Français, qu'est-ce qui est le plus grave : ne pas chanter La Marseillaise ou aller payer ses impôts en Suisse ?
Y'a pu d'saisons
Fournitures scolaires en juin, décoration et chocolats de Noël fin octobre... Prévision pour décembre : chocolats de Pâques !
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