"Nous sommes prêts à mettre de l'argent pour faire les investissements..."
déclarait Nicolas Sarkozy devant les salariés de l'usine ArcelorMittal à Gandrange, en Moselle.
Le chef de l'Etat a aussi promis qu'il reviendrait en personne annoncer les mesures de sauvetage du site menacé de fermeture partielle.
Conclusion : ils ne l'ont jamais revu, la fermeture est toujours d'actualité et ArcelorMittal annonce de nouvelles suppressions d'emplois en France.
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