La réunion extraordinaire du CE du 10 mars a confirmé le chômage massif annoncé quelques jours auparavant.
La CGT est montée aux créneaux pour dénoncer de la manière la plus vigoureuse qui soit cette mesure qui va amputer le salaire mensuel de 150 € en moyenne. Les profits engrangés par Mittal pour 2008 montrent l'indécence d'une telle mesure.
Devant l'assaut de la CGT, la Direction a concédé un jour de chômage en moins. La moyenne chômée sera toutefois de l'ordre de 12 jours effectifs par mois.
La CGT est revenue à la charge en jugeant cette concession insuffisante. Dès lors que le chômage se limite aux secteurs de production du LCB et du TAB et que les effectifs du tertiaire et des services périphériques ne sont pas concernés, le coût d'une indemnisation à 100 % représente un faible effort alors que 150 € de moins sur la feuille de paie pèsera lourd !
La CGT a même proposé d'utiliser le DIF (le droit individuel à la formation) qui, cumulé sur trois ans, représente 60 heures. La Direction a refusé !
La CGT est montée aux créneaux pour dénoncer de la manière la plus vigoureuse qui soit cette mesure qui va amputer le salaire mensuel de 150 € en moyenne. Les profits engrangés par Mittal pour 2008 montrent l'indécence d'une telle mesure.
Devant l'assaut de la CGT, la Direction a concédé un jour de chômage en moins. La moyenne chômée sera toutefois de l'ordre de 12 jours effectifs par mois.
La CGT est revenue à la charge en jugeant cette concession insuffisante. Dès lors que le chômage se limite aux secteurs de production du LCB et du TAB et que les effectifs du tertiaire et des services périphériques ne sont pas concernés, le coût d'une indemnisation à 100 % représente un faible effort alors que 150 € de moins sur la feuille de paie pèsera lourd !
La CGT a même proposé d'utiliser le DIF (le droit individuel à la formation) qui, cumulé sur trois ans, représente 60 heures. La Direction a refusé !
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