Devant les profits engrangés en 2008 par ArcelorMittal, rien ne peut justifier que les sidérurgistes perdent le moindre centime lorsqu'ils sont contraints au chômage.
La CGT exige donc que le chômage soit indemnisé à 100 %. La Direction refuse non pas à cause du coût que cela représenterait, mais par principe. Il est inconcevable pour Mittal que l'on paie des gens à ne rien faire ! Cette position doctrinale est insupportable. Les salariés ne sont pas responsables de la situation !
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