jeudi 1 octobre 2009

TPFC : l'outil de la casse

Les négociations sur les TPFC (temps partiel de fin de carrière) confirment à la deuxième réunion que la volonté d'ArcelorMittal est bien de disposer d'un outil supplémentaire pour casser de l'emploi. Ce que la CGT a dénoncé dès l'ouverture des discussions.
En fait, il n'y a pas de véritables négociations. ArcelorMittal veut imposer ses vues et c'est tout.
Au lieu de discuter d'un dispositif de pré-retraite prenant en compte la pénibilité du travail, la Direction veut un outil qu'elle utilisera à sa guise, quand elle veut et où elle le veut.
La CGT n'est pas d'accord.
Prochaine réunion le 8 octobre.

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