A l'annonce de la fermeture de Gandrange, la CGT avait entre autre mis en relief les conséquences dramatiques de cette décision sur l'emploi et l'activité des entreprises sous-traitantes. Elle n'a pas eu de cesse pour le dénoncer auprès du groupe et des autorités publiques. L'Etat, la Région, le Medef local et ArcelorMittal semblent désormais avoir pris conscience qu'il fallait faire quelque chose. L'hémorragie est telle que des mesures urgentes s'imposent. Attendons de voir...
lundi 25 mai 2009
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire