Si Nicolas était là, c'est tout simplement parce que le 29 janvier, trois millions de manifestants sont descendus dans les rues. Il a été contraint et forcé de faire quelque chose. Dans les faits, il n'a rien dit de concret. Rien pour les salaires, rien pour le SMIC, rien pour l'emploi, rien pour les services publics, rien pour le contrôle des banques... Le saupoudrage de quelques mesures sociales telles que : suppression de la 1ère tranche de l'impôt, revalorisation des allocations familiales pour les plus défavorisés... toutes ces mesures sont reversibles et disparaîtront à la moindre embellie. Comme l'a dit Bernard Thibault, le score de la partie : salariés zéro contre 8 milliards pour les patrons qui vont profiter de la suppression de la taxe professionnelle. Il n'y a plus qu'une seule chose à faire : descendre dans la rue une nouvelle fois et de doubler la mise.
lundi 9 février 2009
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