Alors que la faiblesse et l'abaissement des salaires entrepris depuis des années dans tous les pays figurent parmi les principales causes de la crise que l'on connaît, le patronat et le gouvernement refusent toutes augmentations salariales et toutes augmentations du SMIC. Cette voie est une impasse très dangereuse pour le pouvoir d'achat, la croissance et le développement du progrès social.
La CGT refuse que les revendications salariales soient détournées et remplacées par la participation ou l'intéressement. Ces formules sont aléatoires et n'offrent aucune garantie. De plus, elles ne contribuent pas au financement de la protection sociale. Les augmentations salariales sont irréversibles alors que les bénéfices sont précaires et leur partage plus que douteux.
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