La première réunion de l'année entre les syndicats et le Gesim s'est tenue le 30 janvier. La CGT a dénoncé le renvoi du personnel intérimaire et sous-traitant dans la sidérurgie et exigé l'indemnisation à 100 % du chômage partiel.
Le Gesim veut remettre en cause l'indemnité conventionnelle de départ en retraite et la remplacer par l'indemnité de rupture interprofessionnelle unique comme le prévoit l'accord du 11 janvier 2008 que la CFDT et la CGC ont signé, mais pas la CGT. Ainsi, un salarié bénéficiant de 40 années d'ancienneté verrait son indemnité passer de huit à quatre mois pour les ETAM et à 5 mois pour les ingénieurs et cadres. Ce recul est inacceptable pour la CGT. Elle ne laissera pas faire.
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