Selon une enquête du Crédoc, une fois payées toutes les dépenses fixes, 56 % des ménages pauvres ne disposent plus que de 250 € par mois pour vivre. Pour 15 % d'entre eux, le résultat est négatif, c'est-à-dire qu'ils s'endettent un peu plus pour faire face à leurs dépenses courantes. Ces conclusions confirment les mises en garde des associations de solidarité qui, bien avant la crise, avaient alerté sur les effets de la hausse des loyers, des charges et de l'énergie ainsi que l'augmentation du surendettement depuis le début de l'année 2008.
mercredi 4 février 2009
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