Les 25 000 milliards de capitalisation boursière qui se sont envolés ont pour conséquence de présenter la facture aux travailleurs. Une facture sous la forme d'emplois supprimés, de salaires comprimés, de services publics amputés.
Dans le sillage de la récession qui s'installe, la famine va s'aggraver et ravager des populations entières en Afrique et en Asie, dans l'indifférence des puissants de la planète qui ne se soucient que du sort des banques et de la santé des placements.
Que c'est beau les droits de l'Homme dans le paradis capitaliste !
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