Une Direction qui se fout
de sa responsabilité sociale
de sa responsabilité sociale
Pour les intérimaires et les CDD, la Direction a été très claire. Ils seront tous remerciés au terme de leur contrat ou tant que l'on aura besoin d'eux. Ils seront jetés à la poubelle comme des kleenex. Flexibles, corvéables, utilisés souvent dans l'illégalité, on leur avais même promis l'embauche et, aujourd'hui, ArcelorMittal les jette dehors alors qu'ils méritent le respect et le droit à un travail digne et reconnu.
Concernant les entreprises de sous-traitance, rien ne leur aura été épargné et tout leur aura été imposé. La pression sur les coûts et le chantage au changement de sous-traitants étant la règle. Ce sont les salariés de ces entreprises qui voyaient leurs conditions de travail et d'emploi se dégrader le plus.
La stratégie pour ArcelorMittal Gandrange visait à externaliser tous les risques des santé et de sécurité en transférant sa responsabilité sur ces entreprises et leurs salariés. Ils ont été les vassaux de Mittal.
Aujourd'hui, malgré tous les efforts consentis pour préserver leur travail, rien n'a été prévu. Ces salariés seront remerciés à leur tour par un licenciement. Le message de Mittal c'est "circulez, il n'y a plus rien à faire ici".
Le plan anti-social de la Direction d'ArcelorMittal est basée sur la théorie de l'individualisation comme fil conducteur des réponses qu'elle apporte aux dégâts humains causés par plus 1000 suppressions d'emploi. Pour la CGT, face à une Direction sans complexe, ce qui prévaut, c'est le collectif, c'est le "tous ensemble", c'est la défense de l'emploi chez Mital, chez les sous-traitants, chez les intérimaires. Derrière les chiffres annoncés, il y a des femmes, des hommes, des familles, beaucoup ont tendance à l'oublier. Ce plan prétend sauver l'emploi ; NON, il le démolit.
Pour la CGT, face à une Direction sans complexe, il faudra faire preuve d'une grande solidarité pour défendre l'emploi. La CGT, comme elle l'a toujours fait, sera fermement, résolument et exclusivement du côté des salariés.
Concernant les entreprises de sous-traitance, rien ne leur aura été épargné et tout leur aura été imposé. La pression sur les coûts et le chantage au changement de sous-traitants étant la règle. Ce sont les salariés de ces entreprises qui voyaient leurs conditions de travail et d'emploi se dégrader le plus.
La stratégie pour ArcelorMittal Gandrange visait à externaliser tous les risques des santé et de sécurité en transférant sa responsabilité sur ces entreprises et leurs salariés. Ils ont été les vassaux de Mittal.
Aujourd'hui, malgré tous les efforts consentis pour préserver leur travail, rien n'a été prévu. Ces salariés seront remerciés à leur tour par un licenciement. Le message de Mittal c'est "circulez, il n'y a plus rien à faire ici".
Le plan anti-social de la Direction d'ArcelorMittal est basée sur la théorie de l'individualisation comme fil conducteur des réponses qu'elle apporte aux dégâts humains causés par plus 1000 suppressions d'emploi. Pour la CGT, face à une Direction sans complexe, ce qui prévaut, c'est le collectif, c'est le "tous ensemble", c'est la défense de l'emploi chez Mital, chez les sous-traitants, chez les intérimaires. Derrière les chiffres annoncés, il y a des femmes, des hommes, des familles, beaucoup ont tendance à l'oublier. Ce plan prétend sauver l'emploi ; NON, il le démolit.
Pour la CGT, face à une Direction sans complexe, il faudra faire preuve d'une grande solidarité pour défendre l'emploi. La CGT, comme elle l'a toujours fait, sera fermement, résolument et exclusivement du côté des salariés.
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