Le comité d'entreprise extraordinaire d'ArcelorMittal Gandrange a été convoqué le 14 avril 2008, dans les locaux du Gesim à Metz, conformément à l'accord de méthode, pour être informé sur un projet de licenciement collectif suite à la fermeture de l'aciérie et du TAB.
La Direction a confirmé la suppression de 595 emplois, hors PRP, répartis sur toutes les installations du site.
La réduction des effectifs s'effectuera de manière échelonnée sur 3 périodes distinctes :
- La première s'étalerait entre la fin de la procédure de consultation du CE du 30 mai 2008 au 31 décembre 2008. Elle concernerait 112 emplois.
- La deuxième s'effectuerait du 31 décembre 2008 au 31 mars 2009 et concernerait 277 emplois.
- La troisième s'effectuerait entre le 30 septembre 2009 et le 31 décembre 2009. Elle concernerait 206 emplois.
Une offre de reclassement sera proposée aux salariés concernés par le plan dans un établissement des sociétés françaises ou luxembourgeoises du groupe ArcelorMittal et dans la mesure du possible dans les établissements de Lorraine ou du Luxembourg. Pour cela, il faudra répondre à des critères de sélection avec une cotation liée à un nombre de points suivant les compétences qui seront identifiées dans le domaine du reclassement. Une proposition d'emploi sera faite au sein de la société ou du groupe ArcelorMittal compte tenu des emplois disponibles. Elle est dénommée Offre Valable d'Emploi (OVE) et, en cas de refus, s'ouvrira une période de reclassement externe qui passera par le licenciement.
Il pourrait même arriver que l'OVE proposée soit de classification différente, voire inférieure. Mais seule la Direction jugera si l'OVE est valable pour le salarié.
La CGT s'est positionnée à l'offensive et sur le terrain de l'emploi. Elle a exigé que la Direction renonce à son calendrier et que tous les salariés, sans exception, puissent être réellement reclassés en fonction de leur souhait. Peu importe le temps qu'il faudra prendre.
Pour la CGT, il est hors de question d'accepter un seul licenciement. Tant que les salariés ne sont pas reclassés, ils doivent figurer dans les effectifs.
La Direction a confirmé la suppression de 595 emplois, hors PRP, répartis sur toutes les installations du site.
La réduction des effectifs s'effectuera de manière échelonnée sur 3 périodes distinctes :
- La première s'étalerait entre la fin de la procédure de consultation du CE du 30 mai 2008 au 31 décembre 2008. Elle concernerait 112 emplois.
- La deuxième s'effectuerait du 31 décembre 2008 au 31 mars 2009 et concernerait 277 emplois.
- La troisième s'effectuerait entre le 30 septembre 2009 et le 31 décembre 2009. Elle concernerait 206 emplois.
Une offre de reclassement sera proposée aux salariés concernés par le plan dans un établissement des sociétés françaises ou luxembourgeoises du groupe ArcelorMittal et dans la mesure du possible dans les établissements de Lorraine ou du Luxembourg. Pour cela, il faudra répondre à des critères de sélection avec une cotation liée à un nombre de points suivant les compétences qui seront identifiées dans le domaine du reclassement. Une proposition d'emploi sera faite au sein de la société ou du groupe ArcelorMittal compte tenu des emplois disponibles. Elle est dénommée Offre Valable d'Emploi (OVE) et, en cas de refus, s'ouvrira une période de reclassement externe qui passera par le licenciement.
Il pourrait même arriver que l'OVE proposée soit de classification différente, voire inférieure. Mais seule la Direction jugera si l'OVE est valable pour le salarié.
La CGT s'est positionnée à l'offensive et sur le terrain de l'emploi. Elle a exigé que la Direction renonce à son calendrier et que tous les salariés, sans exception, puissent être réellement reclassés en fonction de leur souhait. Peu importe le temps qu'il faudra prendre.
Pour la CGT, il est hors de question d'accepter un seul licenciement. Tant que les salariés ne sont pas reclassés, ils doivent figurer dans les effectifs.
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