Le syndicat CGT réuni en assemblée générale le mardi 8 avril 2008 a décidé, à l'unanimité de ses membres, de continuer la lutte pour la pérennisation et le développement du LCB et la défense de l'emploi pour tous les salariés concernés par la fermeture de l'aciérie et du TAB, mais aussi pour garantir l'emploi du personnel du LCB et poursuivre l'embauche nécessaire.
Comme la CGT l'a analysé, le plan de démantèlement d'ArcelorMittal fragilise considérablement la position du LCB. Le laminoir, dissocié de l'aciérie et du TAB, deviendra extrêmement vulnérable. Son nouvel avenir est, dès le départ, handicapé par les frais liés au transport de billettes en provenance d'Allemagne qu'il devra supporter et qui impacteront son budget de 12 millions d'euros minimum par an.
La CGT réaffirme que la politique du plan de restructuration d'ArcelorMittal porte en elle le germe de l'extinction, à court terme, du LCB. Devant cette perspective, la CGT a décidé de poursuivre sa lutte pour donner au LCB un cadre industriel qui lui garantisse son avenir à long terme.
Si la bataille pour le maintien de l'acierie et du TAB n'a pas été gagné, la guerre n'est pas fini pour autant. La CGT engage, dès à présent, la lutte pour que les investissements nécessaires de modernisation du LCB soient réalisés et que des investissements plus lourds soient débloqués pour la construction d'une mini-aciérie électrique fonctionnant au tout ferraille avec une coulée continue à billettes en tête du train.
Les annonces faites par le Président de la République le 7 avril montrent que le groupe ArcelorMittal dispose de gros moyens financiers qui peuvent être réorientés pour consolider le LCB.
Bien entendu, l'autre bataille à gagner est celle de l'emploi pour les intérimaires et les sous-traitants.
Comme la CGT l'a analysé, le plan de démantèlement d'ArcelorMittal fragilise considérablement la position du LCB. Le laminoir, dissocié de l'aciérie et du TAB, deviendra extrêmement vulnérable. Son nouvel avenir est, dès le départ, handicapé par les frais liés au transport de billettes en provenance d'Allemagne qu'il devra supporter et qui impacteront son budget de 12 millions d'euros minimum par an.
La CGT réaffirme que la politique du plan de restructuration d'ArcelorMittal porte en elle le germe de l'extinction, à court terme, du LCB. Devant cette perspective, la CGT a décidé de poursuivre sa lutte pour donner au LCB un cadre industriel qui lui garantisse son avenir à long terme.
Si la bataille pour le maintien de l'acierie et du TAB n'a pas été gagné, la guerre n'est pas fini pour autant. La CGT engage, dès à présent, la lutte pour que les investissements nécessaires de modernisation du LCB soient réalisés et que des investissements plus lourds soient débloqués pour la construction d'une mini-aciérie électrique fonctionnant au tout ferraille avec une coulée continue à billettes en tête du train.
Les annonces faites par le Président de la République le 7 avril montrent que le groupe ArcelorMittal dispose de gros moyens financiers qui peuvent être réorientés pour consolider le LCB.
Bien entendu, l'autre bataille à gagner est celle de l'emploi pour les intérimaires et les sous-traitants.
Acierix vous salue
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