Certains dirigeants ont accompagné ou ont été directement acteurs dans la fermeture des installations et des suppressions d'emplois en 2008. Un an plus tard, on renouvelle certaines têtes, fières d'avoir accompli leur basse besogne, qu'il faut maintenant poursuivre jusqu'à son terme.
Le chef de l'aciérie est propulsé à la tête du LCB et celui du LCB repart au Luxembourg.
Petit à petit se dessine le staf directionnel du LCB pour 2010 qui ne sera plus que l'unique installation rescapée en sursis.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire