Les aciéristes laissés pour compte expriment leur colère
Il ne faut surtout pas croire qu'après le glas de l'aciérie, Gandrange restera silencieuse. La CGT est là pour dénoncer et agir le temps qu'il faudra. D'ailleurs, ça n'a pas tardé : le 1er avril, des aciéristes encore sur le carreau, ont investi, avec la CGT, les bureaux de la Direction pour exiger un emploi, le débat a été très vif.
La Direction a bien compris le message qui se renouvellera si rien ne bouge. Ce poison d'avril lui restera en travers de la gorge.
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