Pour répondre à la baisse de la demande commerciale, Mittal a choisi pour 2008 la prise de CP, la prise de RTT, l'utilisation du compteur temps et de fournir quelques occupations au salariés... Voyant la crise se poursuivre en 2009, Mittal met déjà en condition les sidérurgistes en indiquant que les mesures appliquées en 2008 ne suffiront pas en 2009 et d'invoquer le recours au chômage partiel. Pour faire bonne figure et devancer la critique, Mittal promet que le chômage partiel sera indemnisé totalement à 70 % du salaire brut contre 50 % actuellement. C'est le moins qu'il puisse faire ! Quoiqu'il en soit, les sidérurgistes ne sont pas à l'abri de mesures plus sévères encore à moins que, collectivement, ils réagissent en exigeant que ce soit Mittal, ses dirigeants et ses actionnaires qui paient la note et cessent de s'engraisser sur leur dos.
lundi 1 décembre 2008
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire