C'est bien la question que tout le monde se pose. Le LCB a-t-il de l'avenir ? La CGT a déjà répondu qu'elle n'y croyait pas. On pénalise le LCB dès le départ avec des frais de transport de billettes appelés qu'à croître. Toute installation sidérurgique placée dans cette configuration a toujours été condamnée à la fermeture à court ou moyen terme sous le seul prétexte que les frais de transport minaient sa rentabilité.
Sous le règne Mittal, cette vision des choses demeure et s'aggrave.
Pour la CGT, le seul espoir réside dans la construction en amont d'une mini-aciérie électrique avec une coulée continue en prise directe avec le laminoir. Ce n'est pas le choix fait par Mittal. Un choix que la Direction de Gandrange s'est évertuée à défendre hier au cours de deux réunions où était rassemblé le personnel du LCB.
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