La CGT estime que les raisons avancées par Mittal, pour condamner Gandrange, sont pour le moins très incomplètes. Deux aspects essentiels ont été volontairement oubliés :
- Aucune expertise technologique n'a été engagée pour l'acierie, comme la CGT est seule à l'exiger. On ne peut pas condamner un outil sans dire pourquoi.
- Aucune étude a été faite sur le coût réel et total de la fermeture du site, comme la CGT est seule à l'éxiger. Jamais, on a fait l'addition d'une destruction d'un site industriel viable, le coût de la fermeture ne s'arrête pas seulement au coût de l'accompagnement social et du démentèlement. Il faut aussi et surtout ajouter le coût supporté par les colléctivités, l'Etat, les entreprises dépendantes de Gandrange, tous les fonds publics passés, présents et futures. On ne peut pas refuser les investissements nécessaires au sauvetage de Gandrange, dès lors que l'on a pas présenté la note de la fermeture. Et la, on s'apercevra d'une chose, le prix de la casse est autrement plus lourd que celui de bâtir l'avenir.
Acierix applaudit des deux mains la CGT
Acierix vous salue
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