A chaque fois que les patrons de la sidérurgie supprimaient des emplois, tous ceux qui les accompagnaient, dans leurs basses besognes, se joignaient à eux pour faire croire à l'opinion publique, qu'en échange ils garantissaient des "reclassements". Cette fois encore, les casseurs et leurs complices nous servent la même chanson. Et, comme d'habitude c'est avec le même silence honteux et le même cynisme qu'ils cachent les dégats collatéraux de ces reclassements faits sur le personnel intérimaire et sous-traitant. On prétend proposer des reclassements, alors que dans les faits on condamne à la rue au moins 150 intérimaires et sous-traitants sur Gandrange et plus de 300 intérimaires sur SOLLAC. Voilà comment on reclasse. On spécule sur les égoïsmes pour étouffer des centaines de salariés en contrat précaire. On estime que ces salariés sont moins respectables que d'autres. Ce ne sont que des "variables d'ajustement". Cela la CGT ne le supporte pas et le dénoncera.
mardi 26 février 2008
La CGT dénonce le silence et le cynisme
Acierix vous salue.
Publié par Syndicat CGT Gandrange à 26.2.08
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