Il y a des moments où il faut que je me lâche. Nicolas me fout les boules. Dans la même semaine, j'ai assisté au bling-bling de Nicolas à New York et au Bla-Bla de ce même Nicolas au Zénith de Toulon. Il parle encore et toujours. Face à la crise financière, son arme, c'est le verbe. Franchement, et un peu vulgairement, les marchés financiers qui jettent le monde dans le gouffre de la crise, les marchés financiers donc, n'ont rien à cirer de ces postillons-là. Ils ne tremblent pas devant un sabre de bois.
A la vérité, les 100 000 personnes dans le monde, en somme la crème des puissances de la spéculation, qui disposent de 15 000 milliards de dollars, soit le quart du PIB (produit intérieur brut) de la planète, ne craignent rien des imprécations lancées par Nicolas Sarkozy contre les "responsables" du désastre, devant un parterre très huppé d'amis en smoking qui représentent Alcatel-Lucent, Areva, Coca-Cola, Bouygues, L'Oréal, Publicis... On ne scie pas la branche sur laquelle on est assis... Évidemment, ces 100 000 individus, sur 6 milliards d'hommes, c'est la minorité féroce qui creuse l'abîme.
Il faut mettre fin à ce système financier "cupide", piloté des Etats-Unis et qui ruine la planète.
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