Les négociations engagées au niveau d'ArcelorMittal France depuis le début septembre montrent clairement les intentions du groupe :
- Remise en cause des 35 heures, ce qui conduira à augmenté la durée annuelle de 4 heures supplémentaires non payées ;
- Poursuivre la rigueur sur les salaires et proposer les heures supplémentaires ;
- Conditionner l'évolution de carrière au volume annuel de travail effectué ;
- Développer le temps partiel ;
- Développer le recours à l'intérim ;
- Développer la mobilité fonctionnelle et géographique ;
- Refus d'un plan de préretraite pour les travaux pénibles ;
- Freiner les embauches et réduire les effectifs de 20 à 25 % en l'espace de 4 à 5 ans ;
- Poursuivre l'externalisation des activités.
La CGT a proposé un véritable statut du sidérurgiste garantissant le progrès social.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire